Valeureux combattant,
Avant d’entrer dans la mêlée
Tu trembles et tu t’angoisses.
Souvent nous te faisons roi,
Même vaincu cœur vaillant
Nous te coiffons de laurier.
Si l’adversaire t’éclipse,
Nos applaudissements te fêtent.
Mais le corps et l’âme meurtris,
Tu rêves de retrouvailles,
De nouveaux combats,
De courses héroïques,
Et de poussées titanesques
Qui réduisent l’adversaire,
Et l’écrasent à son tour.
Un jour vaincu,
Le lendemain vainqueur.
Jamais truqueur.
Préserve dans nos cœurs
Des rebonds capricieux.
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